Qu’est-ce qu’un véhicule à conduite automatisée ?

Un véhicule à conduite automatisée est un véhicule capable de se conduire d’une manière partiellement ou entièrement autonome. Ce type de voiture embarque dans ce cas une intelligence artificielle capable d’analyser l’environnement avoisinant en vue de prendre des décisions lors de la conduite. Cette autonomie peut se faire sur 5 niveaux. Par exemple, au niveau 2, la conduite automatisée reste partielle. La voiture peut de ce fait corriger votre trajectoire lorsque vous conduisez. La circulation ce type de véhicule est prévu dans un futur proche. Il faudra toutefois attendre plusieurs années avant que la technologie qui équipe ces véhicules soit entièrement fiable.

À quoi serviront ces véhicules ?

Dans de nombreux cas, les accidents routiers sont dus à une erreur du conducteur. Avec les véhicules à conduite automatisée, il sera possible de réduire ces erreurs du conducteur. Par exemple, selon son niveau d’autonomie, le véhicule sera en mesure de gérer lui-même sa trajectoire. Dès lors qu’il dévie de cette dernière, le conducteur en sera immédiatement averti. De ce fait, les moments d’inattention du conducteur ne se concluront plus forcément par des accidents.

Ce que dit la loi sur ces types de véhicules

Étant donné que ce type de véhicule risque d’être bientôt mis en circulation sur les routes, de nombreux pays ont déjà adapté leur loi. En effet, il est important de bien souligner la responsabilité du conducteur avec ce genre de voiture. Désormais, le système automatisé du véhicule (et donc du constructeur) aura aussi une part de responsabilité dans le cas où un accident se produirait. Pour le cas de la France, un décret permettant la circulation de ce type de véhicule à des zones précises est déjà en cours.

Quelques points sur l’activité

Ce stage de pilotage est destiné aux passionnés de sports automobiles et à ceux qui rêvent de conduire une monoplace. Si vous en faites partie, vous pouvez jouer le rôle d’un pilote de Formule Renault 2.0 le temps d’une journée. N’hésitez plus à vous rendre auprès de l’école de pilotage afin d’essayer un bolide de course exceptionnel ! Vous vous sentirez comme les plus grands pilotes de course tels que Nigel Mansell ou Alain Prost.

Durant le stage de pilotage Formule Renault à Magny-Cours, vous serez encadré par des moniteurs et des experts du sport automobile qui sont diplômés BP JEPS. Ce sera un plaisir pour eux de partager leur expérience avec vous. Ils vous donneront aussi de bons conseils.

Les conditions pour tenter l’expérience

Vous ne pouvez pas prétendre être un pilote d’une voiture de course, sans avoir des notions de conduite. Avant de réaliser un stage de pilotage Formule Renault à Magny-cours, vous devez aussi avoir au moins 18 ans. Vous devez également posséder un permis B en cours de validité. Plus important, vous devez être apte à conduire une monoplace ou un véhicule de course assez puissant. Vous devez alors fournir un certificat médical prouvant cela.

Par ailleurs, il est important de consulter la météo le jour du stage. Certaines conditions météorologiques, si elles sont défavorables, nécessitent en effet le report de l’activité par mesure de sécurité.

Si toutes ces conditions sont réunies, rendez-vous sur place pour choisir le circuit sur lequel vous ferez votre premier pas en tant que pilote. Vous pouvez commencer par la piste de 2.530km de Nevers/Magny-cours. Ce sera une aventure inoubliable.

Une assurance prémium : le must des couvertures

Bien évidemment, comme d’habitude, le must c’est la couverture prémium. C’est plus cher, certes, mais c’est celle qui couvre tous les dégâts et tous les incidents. En cas d’accident, l’assureur aura l’obligation de réparer à la fois votre voiture et celle du tiers si la collision est de votre faute. Cette offre prend aussi en charge les dégâts corporels. Et il pourra vous proposer un véhicule de remplacement le temps des réparations.
En cas de vol, l’assureur couvrira une partie des dépenses pour le rachat d’un nouveau véhicule. Encore faudrait-il avoir la preuve que l’incident en question n’est pas de votre fait.

Une couverture au tiers : le minimum à avoir

Mais, une chose est sûre : il faut des centaines d’euros de mensualités pour profiter d’une couverture prémium. Pour vous qui n’avez pas autant de budgets, le minimum à souscrire est la couverture au tiers.
C’est une assurance qui couvre les dégâts matériels et corporels causés au tiers pendant une collision quand l’accident est de votre faute. Il vous faudra alors remplir un constat et adresser une demande à votre assureur.

Prenez le temps de comparer les devis

En tous les cas, ne vous attardez pas uniquement sur les formules. Prenez le temps de comparer les devis. La qualité des prestations ainsi que leur prix ne se valent pas. Vous pourriez négocier de meilleures offres en faisant jouer la concurrence.
À savoir que désormais, l’assurance auto n’est valable que 12 mois. À sa date d’anniversaire, vous avez la possibilité de la résilier si vous trouvez mieux ailleurs.

En quoi consiste le stage de pilotage auto sur circuit ?

Le stage de pilotage auto sur circuit est une activité ludique et sportive qui vous permet de prendre en main une voiture puissante et de grande marque, durant une formation pratique. C’est une activité encadrée qui vous oblige à être accompagné par un moniteur. Comme l’explique le site sportweek, ce type de stage vise l’acquisition d’expérience pour connaitre les bases de la conduite sur circuit et plus rarement, en vue de devenir un véritable professionnel de la course auto. Il faut noter que ce type de formation pratique est seulement fait pour la découverte, mais vous permet aussi d’acquérir des compétences préventives lorsque vous êtes sur route. En effet, vous aurez des conseils techniques sur la bonne méthode de conduire à grande vitesse durant le stage. Vous aurez aussi des débriefings après chaque tour de piste afin de vous aider à bien écouter et comprendre votre véhicule.

Les types de voiture mis à votre disposition

Un stage de pilotage sur un circuit sera peut être la seule occasion que vous aurez pour conduire un vrai bolide de course et une voiture de luxe. Ce type de stage vous offre une liste de voitures de luxe d’exception que vous pourrez avoir en main le temps d’un ou plusieurs tours de piste. Avant d’entrer sur le circuit dans ce cas, on vous donne l’opportunité de choisir la voiture de luxe que vous voulez dompter. Parmi les choix, il y a la fameuse Lamborghini Huricane qui peut être proposée. Vous avez aussi les inaccessibles, dans la vie courante, Ferrari 458 ou la 488. On peut également avoir sous la main une Porsche 911 GT3 RS ou encore une Audi R8 Sport ainsi qu’une Porsche Cayman. Le but est de vous amuser en vous offrant la possibilité de rouler à grande vitesse sur un vrai circuit de course et au volant d’une voiture de rêve.

L’âge idéal pour faire le stage et la tenue à avoir

Même si le stage de pilotage se déroule sur un circuit fermé, ce n’est pas tout le monde qui peut y accéder. Même si vous aimez les bolides de compétition, vous devez avoir plus de 18 ans avant de pouvoir vous inscrire à ce type de stage de conduite auto. Il sera également demandé au pilote en stage de disposer d’un permis de conduire B1 avant de pouvoir monter à bord des véhicules de luxe des centres de formation. Il faut tenir compte de ces critères si vous projetez d’offrir une séance ou un stage de pilotage à une personne que vous appréciez. Il est important en effet, que l’apprentissage se fasse en toute humilité chez les stagiaires jeunes afin de leur apprendre la sécurité en conduite à grande vitesse. Ils pourront aussi se projeter sur les enjeux et les dangers sur une route normale. Pour ce qui est de la tenue, on vous octroie une combinaison de pilotage durant la formation. Mais avant de l’enfiler, il faut bannir les vêtements qui vous dérangent dans vos mouvements ainsi que les chaussures à talon et les sandales.

Des informations sur l’identité du véhicule et de son propriétaire

Aujourd’hui, comme la carte grise à réaliser en ligne est possible, il n’est plus nécessaire de se déplacer à la préfecture pour en faire la demande ou la récupérer. En effet, la carte grise sera livrée à domicile. Tout en haut de votre carte grise, on retrouvera le numéro d’immatriculation de votre voiture ou moto. Ce numéro sera celui du véhicule jusqu’à sa fin de vie et aura cette forme : AB-123-CD. À côté de ce numéro, vous aurez la date de mise en circulation de la voiture ou de la moto. Viennent ensuite les informations sur l’identité du propriétaire : son nom et prénom, l’indication que ce dernier est le propriétaire. Doivent y être mentionnés aussi le nom et prénom du copropriétaire s’il y en a, et leurs adresses. On verra également sur la carte grise, l’identité du véhicule avec notamment, sa marque, son type et son modèle ainsi que le code national d’identification du modèle du véhicule. Le numéro de série de la voiture ou de la moto doit être aussi mentionné après les premiers éléments d’identification du véhicule.

Des informations sur les caractéristiques du véhicule

Sur la carte grise, vous verrez des informations concernant la masse de la voiture ou de la moto. Cela concerne son poids maximum en charge ainsi que son poids à vide. Il devrait aussi y avoir un champ sur la période de validité du certificat d’immatriculation. Cette période est illimitée dans la plupart des cas, donc, on n’aura aucune donnée sur cette case. On y retrouve également le numéro de réception, si le véhicule vient de l’étranger, ainsi que les informations concernant sa puissance. En effet, la carte grise permet de voir la cylindrée du moteur, exprimée en cm3 du véhicule. La carte grise doit mentionner la puissance maximale du moteur exprimée en KW, le type de carburant qui fait fonctionner le véhicule ainsi que la puissance en chevaux fiscaux. Sur ce document est aussi défini le nombre de places assises et debout disponibles dans le véhicule, ainsi que le niveau sonore délivré par le véhicule, qu’il soit en marche ou à l’arrêt. Outre ces points, sur le territoire européen, la carte grise doit indiquer le volume de CO2 que la voiture dégage, et d’avoir la mention CE si la voiture respecte les normes environnementales imposées par la Commission Européenne. Enfin, le document permet de voir la dernière date de contrôle technique de la voiture, et les différentes taxes à acquitter.

Ce qu’il faut savoir durant l’apprentissage

Avant et pendant la phase pratique de l’apprentissage, il est nécessaire que vous suiviez des formations concernant la sécurité sur route. Elles vous apprennent à connaitre et à maitriser les principes de conduite sécurisée sur route et en circulation. Ensuite, vous devez avoir la maitrise de toutes les commandes disponibles sur une moto. Tout d’abord, vous avez le levier d’embrayage qui, contrairement à celui des voitures, s’actionne avec la main. Il se trouve au niveau de la poignée gauche du guidon. Quand vous engagez ou désengagez ce levier, un changement de vitesse se fait dans la roue arrière de la moto. Pour ce qui est du levier de vitesse, vous l’avez au niveau de votre pied gauche. Dès que vous appuyez sur l’embrayage dans ce cas, vous devez aussi actionner le levier de vitesse. Au niveau de la poignée droite, vous avez tout d’abord un élément qu’il est possible de faire bouger afin d’accélérer et de décélérer. Un levier est également disponible au niveau de cette poignée, il s’agit du système de freinage avant. Quant au levier qui se trouve au niveau de votre pied droit, c’est le système de freinage de la roue à l’arrière. Une fois que vous aurez compris tous ces éléments, montez sur votre véhicule. C’est-à-dire, que vous devez vous mettre sur le côté gauche de la moto et attraper le guidon au niveau de la poignée gauche. Passez ensuite votre pied droit par-dessus la selle de la moto pour être à califourchon sur la moto.

Que faire une fois sur la moto ?

Dès lors que vous êtes sur votre moto, regardez d’abord le tableau de bord et les différentes fonctions qui sont devant vous. Ensuite, démarrez le véhicule. Commencez par rouler doucement en vous familiarisant avec les différentes poignées et les leviers cités en haut. Evitez dans ce cas, de tendre la main quand vous tenez les poignées au niveau du guidon. Vous devez avoir les bras légèrement fléchis au niveau de vos coudes pour avoir un maximum de confort et de maitrise. Par ailleurs, même si vos pieds se reposent sur les leviers y afférents, à l’arrêt, ils doivent être capables de bien se poser au sol. Cela vous permet de dompter le poids de l’engin. À noter que durant votre apprentissage, ce sera la manipulation de l’embrayage et du changement de vitesse qui sera la plus compliquée. Vous devez donc, vous exercer autant que possible sur cette fonction avant de conduire sur route.

Comment se fixer sur le bon choix ?

Avant de se fixer sur le bon casque supermotard, il existe quelques points et des critères à considérer. Pour ce faire, assurez-vous d’abord que le casque soit homologué. Il dépend de votre sécurité et du niveau de protection de votre tête de considérer cette caractéristique. Ensuite, il faut voir le poids du casque que vous allez choisir. Sur le marché, et selon les normes en vigueur, un casque doit peser entre 1.1 kg et 1.8 kg. La différence peut être minime lorsqu’on voit les chiffres, mais en pratique, ce poids aura un impact sur votre conduite et votre confort. Ensuite, choisissez la bonne protection en fonction de la fréquence de conduite. Pour les grands sportifs qui sortent avec leurs engins tous les jours, il faut investir dans des casques haut de gamme. Sinon, si vous ne pratiquer que quelques fois au mois ou au trimestre, un casque premier prix fera l’affaire. Enfin, dans le choix, il faut aussi prendre compte de la taille de l’équipement. Pensez toujours à essayer votre casque avant de l’acheter. Ce dernier doit parfaitement s’adapter à la morphologie de votre tête sans être serré ni avoir de l’espace. Votre sécurité et votre confort en dépendent.

Le prix à payer pour avoir le bon casque

Tout d’abord, pour un casque de compétition ou de sport comme pour un supermotard, il faut savoir que toutes les catégories de casque doivent être révisées tous les 5 ans. Une homologation n’est valable que sur cette période. Ainsi, avant d’acheter, vérifiez si le prix et la date d’homologation à la sortie d’usine concordent. En effet, il existe des marques qui vendent à très bas prix des équipements à l’approche de la date de « péremption ». Comme référence, sachez qu’un casque bas de gamme et très classique ne vous coutera que 60 euros, mais homologué sans dépassement de la date et qui suit également les normes en vigueur. Il existe également des modèles prémium qui peuvent être tarifés jusqu’à 300 euros. Enfin, un dernier consigne de sécurité, n’achetez pas un casque d’occasion. Évitez également de le prêter. Un casque est individuel.